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حياة إسلامية

le Jeûne ... quel miracle !!!

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il y a une dîme (impôt) sur chaque chose; celui sur le corps étant le jeûne.» - (Ibn Majah). L'autolyse (autodestruction d’un tissu organique, animal ou végétal, par ses propres enzymes), est un phénomène biologique universel que l'on note aussi bien chez les animaux que chez les végétaux. Si nous plaçons un tubercule de pomme de terre quelque part à l'ombre, dans un sac ou un placard, nous pouvons constater qu'au bout de quelques jours, elle se met à produire des bourgeons; et au fil des semaines de petites tiges apparaissent ainsi que des feuilles.

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Que s'est-il donc passé, alors que le tubercule n'a été fécondé par aucune terre humide, et n’a encore moins reçu de celle-ci ni eau ni minéraux ? En vertu du mécanisme d'autolyse, programmé dans le code génétique des êtres vivants, la pomme de terre s'était mise à vivre sur ses propres réserves nutritives, qui ont assuré les premières phases de son développement. Chez l'animal hibernant, comme l'ours polaire, les énormes réserves de graisse que son organisme aura constituées durant la saison giboyeuse, seront de même transformées en substances nutritives dont se sustenteront les cellules de l’ours, pendant les longs mois de l'hiver polaire; l'animal étant plongé dans un sommeil cataleptique, son métabolisme fonctionnant au plus bas.

 

Pendant le jeûne, notre organisme, privé de nourriture, passe automatiquement d'un type de fonctionnement caractérisé par l'assimilation de substances de provenance externe, à un mode d'activité autarcique, au cours duquel les graisses, les sucres, les protéines sont, sous l'action d'enzymes appropriées, transformés en acides aminés et en acides gras. L'organisme vit alors de ses propres réserves nutritives. Mais que l'on ne s'y trompe ! Le génie du corps organise intelligemment cette «offrande» interne de manière sélective, comme nous l'explique Herbert Shelton : «Durant le jeûne, le corps oxyde (consomme) en interne tout ce dont il peut se passer, afin de préserver l'intégrité des tissus fondamentaux. Les choses inutiles et moins essentielles sont sacrifiées en premier lieu. Les résidus métaboliques sont irrémédiablement oxydés, et même de grosses tumeurs sont sensiblement réduites; la résolution dans la pneumonie est hâtée, le processus se produisant si rapidement qu'il serait souvent difficile d'y croire, si on le voyait de ses propres yeux. Les tissus malades sont détruits, les exsudats, effusions et dépôts sont absorbé pour être recyclés ou éliminés».

 

Les excroissances anormales possèdent une moindre résistance que les tissus sains. Par conséquent, elles sont plus facilement détruites. Le fait qu'elles soient déficientes en apport nerveux et sanguin, en fait des «victimes» toutes désignées du processus autolytique. Pendant le déroulement de celui-ci - qui, rappelons-le, se déclenche automatiquement, du simple fait de la suspension de l'apport nutritif externe -, le corps devient capable de digérer les tumeurs et d'utiliser les protéines et autres éléments nutritifs que ces tissus malsains contiennent, pour en nourrir d'autres tissus vitaux, plus sains.

 

Mosséri, Weger, Shelton, Haoutoff, Bertholet, Guelpa, Cursio et bien d'autres spécialistes de renom, déplorent que de nos jours les physiologistes ne sachent préconiser d'autres usages pratiques de ce merveilleux mécanisme naturel qu’est l'autolyse que comme moyen de juguler l'obésité ou de permettre à la gent féminine de garder la ligne ! Alors qu'il y a plus de cent ans, le respectable Sylvester Graham rendait déjà bonne justice à ce mécanisme naturel de «purification»: «C'est une loi générale de l'économie vitale que lorsque par un moyen quelconque la fonction de décomposition dépasse celle de composition ou de nutrition, les agents de décomposition s'attaquent, toujours en premier lieu, aux substances les moins nécessaires à l'économie vitale et les éliminent; par conséquent, toutes les accumulations morbides (goitres, tumeurs, abcès, etc.) sont rapidement désintégrés, à la suite de jeûnes prolongés ou d'abstinences sévères».

 

Le jeûne absolu, entrepris correctement, au besoin sous contrôle médical, se révèle invariablement comme un purificateur organique souverain, tant pour favoriser la résorption d’une pathologie ou simplement pour faire le «ménage» intérieur ; l’autolyse détruisant dans des délais appréciables les cellules faibles, véritables parasites qui sapent la force vitale, tout en se débarrassant l'organisme de ses déchets toxiques

 

Mame Mactar Guèye

 

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quand une maladie s’installe, suite à une suralimentation ou un régime alimentaire générateur de toxines, les poisons nés de la putréfaction intestinale entraînent progressivement la sclérose cellulaire et, à terme, le vieillissement des tissus. Des expériences médicalement conduites ont montré des cas stupéfiants de rémission d'hémorroïdes, de colite, de gastrite et autres décompositions bactériennes de l'appareil digestif, après un jeûne absolu d'une semaine. Les patients s'abstenant complètement de nourriture, excepté d'eau pure.

 

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Il n’empêche que beaucoup d’essayistes bénévoles paniquent à l'idée de devoir maigrir durant la diète. Peur chimérique, soutient le docteur Edouard Bertholet (Lausanne, Suisse), car ce sont les cellules morbides et les substances dégénérées qui disparaissent en priorité, avant que le corps ne se rabatte sur ses propres réserves. Le jeûne procure aux organes affaiblis un appréciable repos physiologique, au cours duquel les échanges vitaux sont activés, ainsi que la combustion des déchets toxiques accumulés dans nos tissus. Suffisamment prolongé, le jeûne permet aux muqueuses malades et irritées de se reconstituer, d'acquérir une vitalité nouvelle, tout en favorisant un rééquilibrage des réserves corporelles.

 

L'autolyse, qui se produit également durant la fièvre ou une inflammation locale, est une réaction naturelle et salutaire de l'organisme envers les toxines et autres affections microbiennes. Selon l'Ayur-Véda, cette médecine millénaire qui regroupe l'ensemble des thérapies traditionnelles de l'Inde, «cette stimulation de l'«Agni», le feu corporel, que constitue la fièvre, a pour but de détruire ou d'oxyder les toxines, sauvant ainsi le corps de la destruction; quitte même à entraîner dans cette purification l'anéantissement de certains tissus corporels. Lorsqu'un poison assez virulent circule dans le corps, la réaction de l'«Agni» peut-être générale et intense, donnant lieu à une fièvre élevée. Cette intensification du feu interne est donc une mesure défensive prise par l'organisme pour faire face au poison envahisseur».

 

La rapidité d'absorption des tumeurs chez les jeûneurs dépend, selon les spécialistes, de certains facteurs, dont voici les principaux : l'état général du patient, la quantité des réserves corporelles, le type de tumeur, la dureté ou la mollesse de la tumeur, le siège de celle-ci, et enfin l'âge du patient. [Nous devons, en passant, à la vérité de souligner que c'est fort d'être parvenu, par un jeûne absolu, à juguler une tuméfaction - qu'un diagnostic médicale avait qualifié d'«œdème rénal» -, que l'auteur à été définitivement acquis à la pertinence des bienfaits médicaux du jeûne. Cette expérience personnelle fut au demeurant déterminante dans sa motivation à devoir, par le biais de ces présents écrits, en porter témoignage, au profit du plus grand nombre. Nous y reviendrons].

 

Dans tous les cas de figure, précise le docteur Herbert Shelton, le jeûne a eu un effet calmant certain, face à diverses pathologies, et ce dés les premières heures de la cure : «Dans plus d'un cas de cancer, où on avait eu recours à des sédatifs pour apaiser la douleur, j'ai vu le soulagement apporté par trois ou quatre jours de jeûne».

 

Cela dit, comme on serait légitimement tenté de le penser, l'autolyse cellulaire ne saurait être préjudiciable à l'organisme, dans la mesure où elle a pour «mission» prioritaire de débarrasser celui-ci de toutes les altérations susceptibles d'entraver son bon fonctionnement. Si de bien entendu on lui en offre l'opportunité. En l'occurrence, l'autolyse cellulaire est un passage obligé pour que le corps puisse recouvrer son véritable équilibre et sa vitalité. «Passage obligé» disons-nous car, à défaut de le déclencher volontairement, par la pratique du jeûne, par exemple – celui-ci n'en constituant pas le «déclencheur» exclusif -, la Nature s'en occupera invariablement… en nous infligeant une «maladie», ou en nous gratifiant d'une fièvre de cheval. C'est selon ! Car, pour Dame Nature ce ne sont pas les «recettes» qui manquent pour écarter les rebuts qui font obstacle à l'Evolution. «L'autolyse pose dans l'organisme les fondations solides sur lesquelles s'édifiera une Santé Nouvelle» (Dr E. Page, The Naturel Cure).

 

Moralité : «Autolysons-nous» délibérément par le jeûne, plutôt que de devoir subir l'autolyse forcée, imparable, coercitive, et non moins déplaisante que Dame Nature se ferait le sacré devoir de nous infliger, par le biais d’épreuves pathologiques diverses … Pour notre plus grand bien, toutefois !

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a suivre

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«Le jeûne est une école pour l'âme, et un hôpital pour le corps» - (Mohamed Morigbe Kaba).. Pour être transformée en substance énergétique assimilable, les matières alimentaires ingérées accaparent une proportion importante (85%) de notre réserve vitale, pour assurer les tâches de digestion et d'assimilation. Une fatigue passagère en résulte, avant que peu à peu le corps ne reçoive les apports énergétiques nouveaux, induits par la nourriture.

Le "forcing" alimentaire, pratiqué à tort, de nos jours, surtout lorsque le corps accuse une altération fonctionnelle ou organique, sape considérablement ces ressources vitales que l'organisme aurait pu mobiliser dans son effort de reconstitution de tissus lésés ou de désintoxication cellulaire. Hippocrate, le père antique de la Médecine, enseignait déjà cette sagesse, lorsqu'il disait : "Plus vous nourrissez un corps chargé d'humeurs, plus le mal augmente. On doit retrancher de la nourriture dans les redoublements morbides; ce serait un mal que d'en ajouter". On comprend ainsi pourquoi le grand physiologiste français, Claude Bernard, se plaisait à proclamer avec force : "le terrain est tout, le microbe n'est rien", convaincu qu'il était, à l'instar des naturopathes du fond des âges, que la maladie traduisait essentiellement un déséquilibre ou un affaiblissement organique, lors duquel les forces de décomposition dominent sur la dynamique de désintoxication. Pendant le jeûne, cette tendance est inversée.

 

En abordant donc cette facette fondamentale de la portée du jeûne absolu, il va de soi que nous nous transportons au cœur même du sujet : le pouvoir thérapeutique du jeûne. Nous ne doutons pas de la délicatesse de la question, aussi ferons-nous humblement place à des voix plus autorisées. Naturellement, notre attention se porte de prime abord sur les pertinents travaux du docteur Herbert Shelton, dont l'autorité en la matière est mondialement reconnue, pour avoir eu, durant ses 30 années d'expérience, à traiter par le jeûne absolu, dans son Ecole de Santé du Texas, plus de 25.000 malades, hommes, femmes, enfants, dont des flegmatiques et des hypersensibles, des croyants et des athées, des nerveux et des malades mentaux. Les cures duraient, selon les cas, entre 3 et 68 jours. Apprécions cet extrait significatif d'une importante communication par laquelle il met en exergue la quintessence du jeûne. Mais auparavant, rappelons que le principe dont nous nous faisons l'écho depuis le début de cette série de "Chroniques du Ramadan", et selon lequel l'organisme - momentanément exempté de son travail de broyage mécanique, de combustion énergétique et de synthèses biochimiques, du fait du jeûne -, réoriente ses ressources vitales vers un travail d'élimination, d'épuration et de reconstruction, était scientifiquement soutenu par des sommités médicales comme Oswald, Nichols, Carrington, Benedict (aux Usa); Durville, Mono, Carton, Encausse, Bertholet (en France et en Suisse); Szekely, Purcell (en Angleterre), et par les docteurs Rosenbach, Liek, Moellerr, Nielsen (en Allemagne), et par bien d'autres spécialistes.

Mais laissons d'abord s'exprimer Shelton : "Le jeûne n'est pas un processus d'élimination des toxines, il produit effectivement une augmentation appréciable de l'élimination des toxines et des déchets, non seulement des corps fluides, mais aussi des tissus corporels. Il permet particulièrement aux émonctoires (foie, reins, etc.) de se mettre à jour dans leur travail d'élimination, d'équilibrage de leurs comptes, pour ainsi dire. Quand les toxines qui provoquent la fermentation et la putréfaction sont déversées à travers les voies digestives en quantité telle qu'elles dépassent les capacités de neutralisation et d'élimination du corps, et que l'excès toxique a été partiellement emmagasiné dans les tissus moins essentiels, le jeûne met rapidement fin à cette situation, qui risque de provoquer de la décomposition, et donne à l'organisme l'occasion de rattraper le retard qu'il accusait dans son travail d'excrétion. Non seulement les toxines qui circulent dans la lymphe sont rejetées, mais celles déposées dans les tissus sont également excrétées. Par autolyse (voir "Rewmi" du 31/08/2009), les tuméfactions, œdèmes et hydropisies sont absorbés, leurs substances nutritives recyclées pour nourrir d'autres tissus vitaux (...) Le jeûne n'enlève donc pas les toxines. Ceci est le rôle des fonctions excrétoires du corps. Le jeûne donne seulement l'occasion à celles-ci de parfaire leur travail, en arrêtant l'invasion des poisons provenant de la décomposition dans le canal alvin, en permettant la réparation et la régénération des organes, en favorisant la normalisation de la chimie sanguine et, conséquemment, le rajeunissement des cellules et des tissus "

 

 

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Machallah très intréssant

braka allah fiki pour ce post

mais il me faut un dictionnaire médicale pour que je puisse comprendre quelque vocabulaire

un peu difficile pour moi ^^ lool

qu'allah te récompense

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‏ أخبروهم بالسلاح الخفي القوي الذي لا يُهزم صاحبه ولا يضام خاطره، عدته ومكانه القلب، وجنوده اليقين وحسن الظن بالله، وشهوده وعده حق وقوله حق وهذا أكبر النصر، من صاحب الدعاء ولزم باب العظيم رب العالمين، جبر خاطره في الحين، وأراه الله التمكين، ربنا اغفر لنا وللمؤمنين والمؤمنات وارحم المستضعفات في فلسطين وفي كل مكان ..

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